Le carnet de Patrick

Urumqi

À ce moment-ci de l’année, Urumqi n’est pas la plus attrayante des villes. La neige fond, laissant une couche de crasse noire, saletés accumulées durant l’hiver. Ce n’est pas le moment de fréquenter les parcs et le musée de la ville est en rénovation.

La ville semble se transformer rapidement : plusieurs des hôtels mentionnés dans mon guide de voyage n’existent plus et on voit partout des édifices neufs ou en construction. Urumqi n’est pas une ville attrayante, mais, avec son aéroport et sa gare, c’est le point de liaison avec le reste de la Chine. C’est donc un passage obligé pour les voyageurs se rendant au Xīnjiāng.

Un homme charge des tables de restaurant sur un tricycle.

Sans voiture, on fait comme on peut.

Si on ne compte pas les taxis, les voitures sont peu communes à Urumqi. Les gens se déplacent à moto, à vélo ou en char tiré par un âne.
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