Le carnet de Patrick

Album photo: Kyōto

Kyōto, longtemps le cœur battant de l’empire nippon, a conservé son aura de capitale spirituelle et culturelle. Ses nombreux temples se dressent en écho silencieux à des siècles d’histoires et de traditions.

Le temple Kodai-ji

Le temple Kodai-ji.

Les jardins du temple Kodai-ji.

Les jardins du temple Kodai-ji.

L'étang de Kyoko-chi, qui borde le temple d'or.

L’étang de Kyoko-chi, qui borde le temple d’or.

Kinkaku-ji, le temple du Pavillon d'or.

Kinkaku-ji, le temple du Pavillon d’or.

Des bambous dans les jardins du temple Kodai-ji.

Des bambous dans les jardins du temple Kodai-ji.

Lanternes dans un temple de Kyōto.

Lanternes dans un temple de Kyōto.

Le cimetière bouddhiste de Kurodani.

Le cimetière bouddhiste de Kurodani.

Le pont de pierre qui mène au temple de Kurodani.

Le pont de pierre qui mène au temple de Kurodani.

Le matériel d'entretien du cimetière de Kurodani.

Le matériel d’entretien du cimetière de Kurodani.

Un détail de la porte du temple Kiyomizu-dera.

Un détail de la porte du temple Kiyomizu-dera.

Dans les venelles de Gion, maïkos et geishas se glissent comme des ombres furtives. Elles traversent l’espace avec hâte, mais par moments, s’offrent en tableaux éphémères à l’objectif du photographe. Leur grâce insaisissable et leur aura mystérieuse ensorcellent chaque regard.

Deux maïkos s'apprêtent à visiter le temple Kiyomizu-dera.

Deux maïkos s’apprêtent à visiter le temple Kiyomizu-dera.

Deux maïkos prennent la pose dans les rues de Kyōto.

Deux maïkos prennent la pose dans une rue de Kyōto.

Deux maïkos au temple Kiyomizu-dera.

Deux maïkos au temple Kiyomizu-dera.

En plein cœur de Kyōto, lors du festival Hanatōro, les ruelles de Gion s’animent d’une magie intemporelle. Les maïkos défilent alors dans des jinrikisha, carrosses tirés par la force humaine. Cette scène, jouée sur le théâtre des pavés et des anciennes bâtisses en bois, évoque un Japon d’autrefois, séduisant et immuable dans sa grâce.

Une maïko lors de la parade du festival Hanatōro.

Une maïko lors de la parade du festival Hanatōro.

Une maïko dans un jinrikisha, lors de la parade du festival Hanatōro.

Une maïko dans un jinrikisha, lors de la parade du festival Hanatōro.

Une maïko dans un jinrikisha, lors de la parade du festival Hanatōro.

Une maïko dans un jinrikisha, lors de la parade du festival Hanatōro.

Une maïko lors de la parade du festival Hanatōro.

Une maïko lors de la parade du festival Hanatōro.

La gare de Kyōto, inaugurée en 1997, se distingue par son allure résolument moderne au sein d’une cité imprégnée d’histoire. Fusion audacieuse de verre et d’acier, elle joue avec les rayons du jour, créant une symphonie de reflets changeants. Le voyageur, séduit par ce ballet lumineux, est poussé à l’exploration. Pour l’œil du photographe, chaque angle devient un tableau, chaque reflet une histoire.

La gare de Kyōto.

La gare de Kyōto.

La tour de Kyōto, vue de la gare.

La tour de Kyōto, vue de la gare.

Les larges escaliers de la gare de Kyōto.

Les larges escaliers de la gare de Kyōto.

La gare de Kyōto.

La gare de Kyōto.

La gare de Kyōto.

La gare de Kyōto.

Un homme prend une pause dans les escaliers de la gare de Kyōto.

Un homme prend une pause dans les escaliers de la gare de Kyōto.

À l’instar de Tōkyō, la vie nocturne de Kyōto dévoile les charmes obscurs de la ville. Les rues s’animent de passants en quête d’amusement et de divertissement.

Un établissement de jeux.

Un établissement de jeux.

Un lampadaire avec la tour de Kyōto en arrière plan.

Un lampadaire avec la tour de Kyōto en arrière plan.

Un restaurant de brochettes, appelées yakitori.

Un restaurant de brochettes, appelées yakitori.

Lors du festival Hanatōro, le quartier de Higashiyama se pare d’une douce lueur émanant de milliers de lanternes. C’est une invitation poétique à déambuler, où chaque ruelle, baignée d’une lumière délicate, dévoile un éclat d’enchantement et de sérénité.

Une rue du quartier de Gion, la nuit.

Une rue du quartier de Gion, la nuit.

Deux maïkos marchent dans une ruelle du quartier de Gion, la nuit.

Deux maïkos marchent dans une ruelle du quartier de Gion, la nuit.

Les temples et les parcs s’illuminent eux aussi de douces sculptures lumineuses, créant ainsi des tableaux d’une beauté profonde.

La porte Nishiromon du temple de Yasaka-Jinja.

La porte Nishiromon du temple de Yasaka-Jinja.

Les lanternes du festival Hanatōro, au parc Maruyama.

Les lanternes du festival Hanatōro, au parc Maruyama.

Le parc Maruyama durant le festival Hanatōro.

Le parc Maruyama durant le festival Hanatōro.

Une lanterne du festival Hanatōro, au parc Maruyama.

Une lanterne du festival Hanatōro, au parc Maruyama.

Une rivière de lanternes en bambou, durant le festival Hanatōro au parc Maruyama.

Une rivière de lanternes en bambou, durant le festival Hanatōro au parc Maruyama.

Ainsi s’achève notre voyage à Kyōto, où le murmure des quartiers traditionnels se mêle à la vibrante symphonie de ses festivités. Des ruelles paisibles aux festivals éblouissants, Kyōto nous dévoile, à chaque pas, les nuances profondes de l’âme japonaise.

La ruelle Ishibe-Koji. Des lanternes ont été placées pour le festival Hanatōro.

La ruelle Ishibe-Koji. Des lanternes y ont été placées pour le festival Hanatōro.