Le carnet de Patrick

Album photo: le Tibet

Le Tibet, accroché aux toits du monde, éveille l’imaginaire avec ses sommets vêtus de blanc, ses étendues désertiques et ses monastères séculaires où vibrent les psalmodies bouddhistes. Ce territoire, souvent hors d’atteinte des voyageurs, était accessible lors de mon passage par un vol depuis Chéngdū.

Lhassa, enchâssée dans sa vallée protectrice, vit sous le regard du Potala. Ce palais mythique, résonnant encore des échos du Dalaï Lama, s’élève en tant que témoin de l’histoire tibétaine et de la ferveur spirituelle de son peuple.

Le palais du Potala, à Lhassa.

Le palais du Potala, à Lhassa.

Une porte du palais du Potala, à Lhassa.

Une porte du palais du Potala, à Lhassa.

Le palais blanc, où se trouvent les quartiers du dalaï-lama et les bureaux de l'ancien gouvernement tibétain.

Le palais blanc, où se trouvent les quartiers du dalaï-lama et les bureaux de l’ancien gouvernement tibétain.

Les toits dorés du palais rouge du Potala.

Les toits dorés du palais rouge du Potala.

Une sculpture de lion, dans le palais du Potala.

Une sculpture de lion, dans le palais du Potala.

Un ornement de toit, au palais du Potala.

Un ornement de toit, au palais du Potala.

Un des toits dorés du palais rouge du Potala.

Un des toits dorés du palais rouge du Potala.

Le palais du Potala, à Lhassa.

Le palais du Potala, à Lhassa.

Lhassa, vibrante d’énergie, attire à elle les pèlerins tibétains par vagues incessantes. Guidés par la foi, ils affluent pour se plonger dans des rituels sacrés, puis se dispersent dans l’effervescence des bazars. Entre prières et négoce, entre sacré et profane, ils cherchent et trouvent des trésors aussi bien spirituels que matériels.

Une rue embrumée de Lhassa.

Une rue embrumée de Lhassa.

Des pèlerins près du temple de Jokhang.

Des pèlerins près du temple de Jokhang.

Des pèlerins près du temple de Jokhang.

Des pèlerins près du temple de Jokhang.

Un éventaire de mélangeurs près du temple de Jokhang.

Un éventaire de mélangeurs près du temple de Jokhang.

Des pèlerins près du temple de Jokhang.

Des pèlerins près du temple de Jokhang.

Une rue embrumée de Lhassa.

Une rue embrumée de Lhassa.

Une rue embrumées de Lhassa.

Une rue embrumées de Lhassa.

Durant trois siècles, le Tibet a vécu au rythme des moines bouddhistes, gardiens d’une société singulière où spiritualité, politique et puissance militaire ne faisaient qu’un. Cette symbiose a donné naissance à un patrimoine architectural unique. Les dzong, à la fois monastères et forteresses, présentent d’imposants murs blanc au sommet ocre, entourant et veillant sur les quartiers d’habitation et de prières.

Près du monastère de Shigatsé.

Près du monastère de Shigatsé.

Le monastère de Tashi Lumpo, à Shigatsé.

Le monastère de Tashi Lumpo, à Shigatsé.

Le monastère de Tashi Lumpo, à Shigatsé.

Le monastère de Tashi Lumpo, à Shigatsé.

Détail du toit du monastère de Tashi Lumpo.

Détail du toit du monastère de Tashi Lumpo.

Détail d'un assemblage de pièces de bois peintes au monsatère de Tashi Lumpo.

Détail d’un assemblage de pièces de bois peintes au monsatère de Tashi Lumpo.

Le palais de Yumbulagang.

Le palais de Yumbulagang.

Le monastère de Samyé.

Le monastère de Samyé.

Un stupa du monastère de Samyé.

Un stupa du monastère de Samyé.

La maison d'un ermite, entre Samyé et Chimpuk.

La maison d’un ermite, entre Samyé et Chimpuk.

Le monastère de Drigung.

Le monastère de Drigung.

Le monastère de Drepung.

Le monastère de Drepung.

Le monastère de Drepung.

Le monastère de Drepung.

Un Bouddha au monastère de Drepung.

Un Bouddha au monastère de Drepung.

La roue du Dharma, au monastère de Drepung.

La roue du Dharma, au monastère de Drepung.

Fenêtres, monastère de Drepung.

Fenêtres, monastère de Drepung.

Le kumbum de Gyantsé.

Le kumbum de Gyantsé.

Une porte du fort de Gyantsé.

Une porte du fort de Gyantsé.

Une porte des remparts du fort de Gyantsé.

Une porte des remparts du fort de Gyantsé.

Les monastères sont des sanctuaires où résonnent prières et enseignements, où se croisent pèlerins et âmes voyageuses.

Le monastère de Drepung.

Le monastère de Drepung.

L'heure des débats au monastère de Séra.

L’heure des débats au monastère de Séra.

Deux touristes sur les marches du monastère de Tashi Lumpo.

Deux touristes sur les marches du monastère de Tashi Lumpo.

Des moines de Shigatsé s'intéresse à notre guide de voyage.

Des moines de Shigatsé s’intéresse à notre guide de voyage.

Le monastère sud de Sakya.

Le monastère sud de Sakya.

Un moine du monastère de Drepung.

Un moine du monastère de Drepung.

Le Tibet se dresse en un vaste plateau qui touche les cieux à plus de 5000 mètres. Cette étendue désertique, parsemée de lacs aux reflets azurés et couronnée de cimes immaculées, dévoile des panoramas qui suspendent le temps.

Le lac Yamdrok, sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Le lac Yamdrok, sur la route entre Lhassa et Gyantse.

La partie nord de Sakya.

La partie nord de Sakya.

Ciel de nuit à Samyé.

Ciel de nuit à Samyé.

Le lac Yamdrok, sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Le lac Yamdrok, sur la route entre Lhassa et Gyantse.

La lune se lève au dessus des montagnes.

La lune se lève au dessus des montagnes.

Le mont Everest.

Le mont Everest.

Un homme mène son yak sur un chemin de montagne.

Un homme mène son yak sur un chemin de montagne.

Un bouvier et son troupeau de yaks.

Un bouvier et son troupeau de yaks.

Arrivé par les airs, je décide de quitter le Tibet en suivant la célèbre Route de l’Amitié en direction de Katmandou, au Népal. S’étirant sur des centaines de kilomètres, elle déroule sous nos yeux des panoramas d’une majesté inégalée, où chaque virage révèle une scène plus époustouflante que la précédente.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Un arrêt forcé par les travaux sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Un arrêt forcé par les travaux sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Des travaux sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Des travaux sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Un arrêt forcé par les travaux sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Un arrêt forcé par les travaux sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Un stupa sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Un stupa sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Sur la route entre Lhassa et Gyantse.

Le réservoir Mamlha.

Le réservoir Mamlha.

Gyantsé, vu des ramparts du fort.

Gyantsé, vu des ramparts du fort.

Le camp de base de l'Everest.

Le camp de base de l’Everest.

Le camp de base de l'Everest.

Le camp de base de l’Everest.

Sur la route entre Sakya et Shegar.

Sur la route entre Sakya et Shegar.

Gyatso-la, l'entrée du parc national du Qomolangma, à 5200 mètres d'altitude.

Gyatso-la, l’entrée du parc national du Qomolangma, à 5200 mètres d’altitude.

Qomolangma est le nom tibétain du mont Everest.

Après le camp de l’Everest, la route nous mène en quelques heures à la frontière népalaise. C’est à ce point de passage que se termine mon voyage, une dernière étreinte avec un Tibet éternellement mémorable.