Le carnet de Patrick

Album photo: Tōkyō

Tōkyō, cité immense, donne son souffle à plus de huit millions d’histoires qui s’entremêlent. À chaque pas l’opportunité se présente de figer avec l’objectif des scènes fugaces, des éclats de vie. C’est dans ce ballet incessant que l’appareil photo se fait conteur, capturant des instants éphémères de cette métropole vibrante.

Boutique de lunettes cool.

Boutique de lunettes cool.

La nuit sur une artère commerciale du quartier de Yaesu, Tōkyō.

La nuit sur une artère commerciale du quartier de Yaesu, Tōkyō.

Le quartier de Kabukichō, dans l'arrondissement de Shinjuku.

Le quartier de Kabukichō, dans l’arrondissement de Shinjuku.

Devant l'édifice de Shinkō Securities.

Devant l’édifice de Shinkō Securities.

Deux jeunes femmes traversent une salle de jeux dans Shibuya.

Deux jeunes femmes traversent une salle de jeux dans Shibuya.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Deux jeunes femmes magasinent sur l'avenue Meiji-dōri, dans le quartier de Shinjuku.

Deux jeunes femmes magasinent sur l’avenue Meiji-dōri, dans le quartier de Shinjuku.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Passants sur l'avenue Meiji-dōri, dans le quartier de Shinjuku.

Passants sur l’avenue Meiji-dōri, dans le quartier de Shinjuku.

À la sortie de la station Meiji-jingūmae.

À la sortie de la station Meiji-jingūmae.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Sur Meiji-dōri, dans le quartier Harajuku.

Une jeune femme consulte son téléphone.

Une jeune femme consulte son téléphone.

Un jeune homme passe un coup de fil.

Un jeune homme passe un coup de fil.

La nuit près de l'édifice du Pacific Century Place.

La nuit près de l’édifice du Pacific Century Place.

Un homme consulte les cotes boursières dans la vitrine de l'édifice de Shinkō Securities.

Un homme consulte les cotes boursières dans la vitrine de l’édifice de Shinkō Securities.

Des toutous prisonniers d'une machine attrape-peluche.

Des toutous prisonniers d’une machine attrape-peluche.

Des distributrices de jouet.

Des distributrices de jouet.

Poupées dans une vitrine de boutique, à l’occasion de la journée des poupées.

Poupées dans une vitrine de boutique, à l’occasion de la journée des poupées.

À Tōkyō, l’architecture ne se contente pas de toucher le ciel, elle caresse également les rêves des hommes. Les artères de cette métropole, loin de n’être qu’une simple succession de façades, sont plutôt une mosaïque de visions, de désirs et de révoltes contre l’ordinaire. À chaque pas, le surprenant côtoie l’élégant, à chaque tournant, on redécouvre le sens même de la créativité.

Façade d'un karaoke à Shinjuku.

Façade d’un karaoke à Shinjuku.

Le café Lion.

Le café Lion, de style anglais.

Toit en tuile et gratte-ciel. L'ancien côtoie le moderne.

Toit en tuile et gratte-ciel. L’ancien côtoie le moderne.

Le gymnase national Yoyogi se reflète dans la façade de verre d'un édifice.

Le gymnase national Yoyogi se reflète dans la façade de verre d’un édifice.

La tour de Tōkyō, une réplique de la tour Eiffel.

La tour de Tōkyō, une réplique de la tour Eiffel.

Le centre commercial Lumine Yūrakuchō.

Le centre commercial Lumine Yūrakuchō.

L'édifice Hermès, tout en blocs de verre.

L’édifice Hermès, tout en blocs de verre.

L'édifice Mitsui, dans le quartier Shinjuku.

L’édifice Mitsui, dans le quartier Shinjuku.

L'édifice Sompo Japan, avec derrière l'édifice Shinjuku Nomura.

L’édifice Sompo Japan, avec derrière l’édifice Shinjuku Nomura.

L'édifice Shinjuku Center.

L’édifice Shinjuku Center.

Plafond de l'atrium de l'édifice Shinjuku Sumitomo.

Plafond de l’atrium de l’édifice Shinjuku Sumitomo.

Une femme passe un coup de fil près d'une sculpture.

Une femme passe un coup de fil près d’une sculpture.

Siège du gouvernement métropolitain de Tōkyō.

Siège du gouvernement métropolitain de Tōkyō.

Vue de l'hôtel Shinjuku Washington.

Vue de l’hôtel Shinjuku Washington.

Les love hotels de Tōkyō, avec leurs façades extravagantes, se distinguent par une architecture audacieuse. Bien plus que de simples refuges pour des moments volés, ils sont des écrins où les amoureux peuvent se perdre et se retrouver.

Chaque porte dévoile un monde différent, conçu avec soin pour éveiller la curiosité et enflammer la passion. Bien loin de la simple fonctionnalité, ces hôtels deviennent des théâtres de rêves et de fantaisies, où chaque chambre est une scène, une invitation à l’évasion. Dans ces havres d’intimité, l’extraordinaire se mêle au quotidien, et l’amour trouve mille et une façons de s’exprimer.

Le love hotel Neo Cosmo.

Le love hotel Neo Cosmo.

Le love hotel Casa di Due.

Le love hotel Casa di Due.

Tōkyō, malgré son pouls trépidant, cache en son sein des écrins de verdure qui respirent la quiétude. Je me suis accordé quelques journées pour déambuler parmi ces oasis urbaines : les paisibles jardins du palais impérial, le vivant parc de Ueno où musées, temple et zoo cohabitent, et le parc Yoyogi, gardé par l’élégant sanctuaire shintoïste Meiji.

Les jardins du palais impérial.

Les jardins du palais impérial.

Les jardins du palais impérial.

Les jardins du palais impérial.

L'étang de Shinobazu, dans le parc Ueno.

L’étang de Shinobazu, dans le parc Ueno.

Offrande annuelle de barils de sake à Meiji-jingū.

Offrande annuelle de barils de sake à Meiji-jingū.

Chaloupes au parc Ueno.

Chaloupes au parc Ueno.

Des bateaux en forme de cygne au parc Ueno.

Des bateaux en forme de cygne au parc Ueno.

Canards souchets.

Canards souchets.

Bateaux amarrés près du jardin Hama-Rikyū, dans la baie de Tōkyō.

Bateaux amarrés près du jardin Hama-Rikyū, dans la baie de Tōkyō.

Petit chien.

Petit chien.

Une pause au parc Yoyogi.

Une pause au parc Yoyogi.

Près du temple Gojoten.

Près du temple Gojōten.

Un cerisier en fleurs.

Un cerisier en fleurs.

Le pavillon de thé, dans les jardins du palais impérial.

Le pavillon de thé, dans les jardins du palais impérial.

Un mariage au temple Meiji-jingū.

Un mariage au temple Meiji-jingū.

Les fontaines du parc Wadakura.

Les fontaines du parc Wadakura.

Des gens se promènent parmi les fleurs de canola au jardin Hama-Rikyū.

Des gens se promènent parmi les fleurs de canola au jardin Hama-Rikyū.

Des écolières traversent les fleurs de canola du jardin Hama-Rikyū.

Des écolières traversent les fleurs de canola du jardin Hama-Rikyū.

Les fortifications d'un ancien château.

Les fortifications d’un ancien château.

Des racines exposées au jardin Ninomaru.

Des racines exposées au jardin Ninomaru.

Fleurs de cerisier.

Fleurs de cerisier.

Chaque matin, au cœur de Tōkyō, s’éveille le marché de Tsukiji. Ce n’est pas qu’un simple marché de poissons : c’est une symphonie matinale où les cadences de l’océan s’entrelacent avec le rythme de la vie tokyoïtes.

À l’aube, le ballet des enchères s’embrase. Puis, les maîtres poissonniers, avec une dextérité qui frôle l’art, sculptent ces trésors de la mer, les préparant pour une prochaine symphonie gustative. Chaque recoin du marché foisonne de promesses de festins qui, bientôt, feront danser l’océan sur nos palais.

Un poissonnier prépare une pièce sous le regard attentif de son client.

Un poissonnier prépare une pièce sous le regard attentif de son client.

Des têtes de thon.

Des têtes de thon.

Malgré son allure peu appétissante, la tête de thon contient beaucoup de chair. Elle peut être apprêtée bouillie ou rôtie.
Un homme apprête un poisson.

Un homme apprête un poisson.

Des okoze (Inimicus japonicus).

Des okoze (Inimicus japonicus).

Des poissons, probablement des vivaneaux.

Des poissons, probablement des vivaneaux.

Un poissonnier pèse un morceau de thon.

Un poissonnier pèse un morceau de thon.

Un étal de poissonniers au marché de Tsukiji.

Un étal de poissonniers au marché de Tsukiji.

Les chariots utilisés pour transporter le poisson.

Les chariots utilisés pour transporter le poisson.

Tōkyō est immense. Depuis le 50e étage de l’édifice du gouvernement métropolitain, une fenêtre s’ouvre sur son vaste panorama urbain. À cette hauteur, la nuit, la cité déploie un tableau luminescent, un ballet de lumières et d’ombres. Le labyrinthe des rues, veines palpitantes, nourrit le cœur de cette métropole insatiable.

L'édifice Shinjuku Sumitomo.

L’édifice Shinjuku Sumitomo.

Tōkyō la nuit. À gauche, l'hôtel Park Hyatt, au centre l'Opéra de Tōkyō et au loin, l'arrondissement de Shibuya.

Tōkyō la nuit. À gauche, l’hôtel Park Hyatt, au centre l’Opéra de Tōkyō et au loin, l’arrondissement de Shibuya.

Vue de l'arrondissement de Nakano, du haut de l'édifice du gouvernement métropolitain.

Vue de l’arrondissement de Nakano, du haut de l’édifice du gouvernement métropolitain.

Au cœur du tumulte et des mirages modernes, Tōkyō multiplie ses facettes, offrant une odyssée urbaine singulière. Plus qu’une simple destination, elle est un appel constant à la découverte, une aventure sans fin où chaque coin de rue éveille curiosité et admiration.